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« Du bon usage de la piraterie » de Florent Latrive

L'œuvre "Du bon usage de la piraterie"
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Que sait-on de la piraterie ? Cet ouvrage d’Exils éditeur présente la piraterie moderne, construction légale et artificielle sur tous ses angles, insistant notamment sur ses dangers dans la société.

Cette notion encore nouvelle, apparue avec la démocratisation des nouvelles technologies, est expliquée par le journaliste français dans son ouvrage culturel « Du bon usage à la piraterie ». Retrouvez contenu, avis et critiques sur cet essai journalistique des temps modernes dans ces quelques lignes.

À propos de l’auteur

Né en 1972, Florent Latrive est un journaliste français qui a travaillé depuis 1996 chez le quotidien français « Libération », avant de devenir responsable des activités numériques chez France Culture en 2015. Ce journaliste a aussi travaillé de multiples essais journalistes développant la thématique de la transformation des médias engendrée par les nouvelles technologies.

Florent Latrive est aussi connu pour la sortie de son ouvrage « Du bon usage à la piraterie : culture libre et science-fiction », un récit à succès qui lui a permis de devenir chef adjoint du journal Libération.

Présentation de l’ouvrage « Du bon usage de la piraterie »

« Du bon usage de la piraterie » est un essai journalistique de culture libre et science ouverte qui introduit un nouveau mouvement visant à changer l’esprit du public. Cet ouvrage signé Florent Latrive s’adresse à une société libre, qui, depuis l’apparition des nouvelles technologies, voit ses propriétés intellectuelles sérieusement menacées. Selon Latrive, ces technologies avancées mèneraient vers un bouillonnement créatif, qui contrôlerait connaissances et cultures de notre société de telle sorte que celle-ci ne puisse le tolérer. Ce phénomène est appelé par l’auteur « Préface de Lawrence Lessig ». L’œuvre « Culture Libre » de Lawrence Lessig se rapproche beaucoup de ce livre en traitant aussi le sujet des nouvelles technologies et de leur effet néfaste sur la production culturelle et la créativité.

Sorti en 2000, Cette préface inédite de l’auteur est présentée sous forme d’essai mettant en scène une bataille de la société actuelle contre les propriétés intellectuelles, nous parlons là de tout contenu multimédia en ligne de type :

  • vidéo ;
  • image ;
  • audio.

Florent Latrive explique aussi que la limite est très fine entre le bon usage des nouvelles technologiques et la piraterie. Cette société soumet aussi tout son public aux diktats des producteurs et autres intermédiaires. Ce récit très documenté prône aussi l’établissement d’un régime de l’immatériel équilibré, dans lequel l’incrimination de toutes les pirates ne se fait pas sans distinction.

« Du bon usage de la piraterie » n’a pas été adapté au cinéma, mais nombreux films traitent déjà ce thème ; les nouvelles technologies pourraient, dans un futur lointain, menacer, voire prendre la place de l’homme (Robot, Matrix, Ghost in Shell, etc.).

« Du bon usage à la piraterie » : avis et critiques

À travers cet ouvrage à la pointe de la technologie, les lecteurs découvrent les tenants et aboutissants de la piraterie dans tous ses aspects et variantes. Les avis et critiques sont plutôt positifs dans l’ensemble. Nombreux considèrent ce récit journalistique comme une bonne étude bien structurée, argumentée et illustrée.

Le seul bémol que rappellent certains lecteurs est lié à l’année de publication (en 2000), qui pourrait demander à cet ouvrage une petite mise à jour concernant l’avancée des nouvelles technologies.